FREDERICTON (GNB) – Le gouvernement provincial affirme que l’abondance des ressources naturelles et les prix concurrentiels des terres sont deux facteurs qui font du Nouveau-Brunswick l’endroit tout indiqué pour les nouveaux agriculteurs qui désirent se lancer dans une industrie croissante et rentable.

L’agriculture est intimement liée à l’histoire de la province et représente une part importante de son économie. Le Nouveau-Brunswick figure parmi les plus grands producteurs de bleuets et de pommes de terre, ainsi que de produits congelés. En 2015, 13 000 personnes travaillaient dans les domaines de l’agriculture et de l’élevage au Nouveau-Brunswick, générant une production alimentaire évaluée à 570 millions de dollars.

« Pendant des générations, les familles d’agriculteurs ont soutenu la vigueur de notre secteur agricole. Or, au cours des dernières années, le bassin de nouveaux agriculteurs a diminué », a affirmé le ministre de l’Agriculture, de l’Aquaculture et des Pêches, Rick Doucet. « Parallèlement, la contribution totale de la production agricole, animale et alimentaire au produit intérieur brut a augmenté, créant de nouvelles possibilités de croissance économique, d’où la nécessité de recruter de nouveaux agriculteurs dans la province. »

L’idée d’attirer de nouveaux agriculteurs dans la province fait partie du Plan de croissance économique du Nouveau-Brunswick. L’objectif est de recruter des agriculteurs venant de la province et d’ailleurs au pays et dans le monde afin que le Nouveau-Brunswick puisse continuer sur sa lancée dans les secteurs de l’agriculture et de la production alimentaire.

« Comme la valeur des exportations agricoles du Nouveau-Brunswick continue d’augmenter et que le prix des terres demeure concurrentiel dans la province, il est possible de tirer profit de l’industrie agricole du XXIe siècle afin de créer des emplois et d’augmenter les recettes, a dit M. Doucet. Il s’agit de priorités pour notre gouvernement, et elles contribueront à améliorer la qualité de vie de tous les Néo-Brunswickois. »

Le ministère de l’Agriculture, de l’Aquaculture et des Pêches dirigera les efforts du gouvernement dans ce secteur avec l’appui d’autres ministères. Des intervenants externes, des associations industrielles et des communautés rurales participeront également à la création de débouchés en agriculture en fonction des ressources locales.

Le plan de croissance économique, qui établit un cadre visant à remettre le Nouveau-Brunswick en marche, est disponible en ligne. Le document Possibilité de croissance au Nouveau-Brunswick : Attirer de nouveaux fermiers est également disponible en ligne.